Aston-Passion

1962-Aston Martin DB4 Série 5 Festalozzi









Moteur : 6 cylindres en ligne

Cylindrée : 3670 cm3

Puissance : 240 ch/6000 t/mn

Poids : 1308 kg

Vmax : 225 km/h

Carrosserie : coupé

Nb produits : ?



Il s’agit d’une Aston Martin DB4 Série 5 dont les phares ont été modifiés par la carrosserie italienne Festalozzi. Le résultat n’est pas, à mon avis, des plus réussi.

1963-Aston Martin DB4 lightweight









Moteur : 6 cylindres en ligne

Cylindrée : 4200 à 4500 cm3

Puissance : 425 ch/6000 t/mn

Poids : 1026 kg

Vmax : 280 km/h

Carrosserie : coupé

Nb produits : ?



Avec le temps qui passe, la DB4 GT est devenue une voiture très précieuse, peut-être trop pour de nombreux propriétaires pour la risquer sur la piste. Ainsi, il est devenu populaire de transformer des premières DB4 de route en de légères voitures de course; c’est en effet la voiture la plus populaire dans les courses du club AMOC. Le registre AMOC a officieusement appelé ces voitures « DB4 Series 6 ». Les plus développées sont très souvent les voitures les plus rapides sur la piste, imbattables, même par les V8 modifiées. La plus grande partie du développement a été faite par RSWilliams, le célèbre spécialiste Aston Martin de Cobham, Surrey, mais aussi par Aston Engineering de Derby et de Goldsmith and Young . Ces voitures représentent ce que la lignée DB4 serait devenue si le développement à l'usine du moteur 6 cylindres avait continué.

1991-Aston Martin DB4GT Zagato Sanction 2









Moteur : 6 cylindres en ligne

Cylindrée : 4212 cm3

Puissance : 325 ch/6000 t/mn

Poids : 1257 kg

Vmax : 245 km/h

Carrosserie : coupé

Nb produits : 4



S'ajoutant aux 19 châssis habillés chez Zagato, quatre ensembles mécaniques complets avaient été préparés en 1960, restant ensuite en l'état. Conservés à l'usine, ils furent récupérés en 1991 par un spécialiste des Aston Martin, Richard Williams, déjà propriétaire d'une Zagato complète. Avec l'accord de l'usine et le concours effectif du carrossier italien, Williams a réalisé à partir de ces châssis des répliques qui sont, trente ans après la naissance du modèle, aussi fidèles que possible à la lettre et à l'esprit de l'original. Trois de ces voitures ont été vendues, la dernière étant conservée par Victor Gauntlett (le patron d'Aston-Martin à l'époque) et Williams. Des améliorations mécaniques ont été apportées aux Zagato de 1991 un meilleur guidage du pont arrière, une monte pneumatique réactualisée et, surtout, un réalésage faisant passer la cylindrée à 4 212 CM3, avec une puissance légèrement supérieure (325 ch). La parenté de la nouvelle DB7, mise en production par Ford en 1995, avec ce modèle est flagrante. Une preuve suppplémentaire que le style de la DB4 GT était parfait.

1993-Aston Martin DB4/384/R Zagato Réplica









Moteur : 6 cylindres en ligne

Cylindrée : 4212 cm3

Puissance : 380 ch/6000 t/mn

Poids : 1260 kg

Vmax : 255 km/h

Carrosserie : coupé

Nb produits : 1



En 1993, Joseph Hish, un américain amateur d’Aston Martin acheta la DB4 GT/0143/L.

Mais ébloui par la beauté de la DB4 GT Zagato et ne pouvant pas s’en acheter une vraie il décida de se faire réaliser une réplique parfaite de »2VEV ». Dans ce dessein, il utilisa comme véhicule donneur la DB4/384/R dont le châssis fut raccourci de 5 pouces pour avoir l’empattement correct de l’originale de 93 pouces. Puis la carrosserie fut formée en alliage d’aluminium par Shapecraft, une société qui effectuait des travaux de carrosserie pour l’usine Aston Martin. Ensuite elle fut expédiée chez Jon Clerk’s PTR Inc en Floride pour adapter le reste de la mécanique. Enfin il décida de laisser la carrosserie dans une finition « aluminium poli ».

2003-Aston Martin DBGT spécial Zagato









Moteur : 6 cylindres en ligne

Cylindrée : 3670 cm3

Puissance : 302 ch/6000 t/mn

Poids : 1270 kg

Vmax : 245 km/h

Carrosserie : coupé

Nb produits : 1



C’est une Aston Martin étrange que celle ci. Elle a commencé sa vie comme un châssis standard de DB4GT numéro 0148 / R, et appartenait à l'origine à Max Aitkin. Mais quand elle est devenue la propriété du deuxième propriétaire, Bob Buchanan-Michaelson, une transformation a eu lieu. De retour à l'usine, la voiture a été reconstruite avec l'avant d'une DB5 et l'arrière d'une DB6 et a donc été rebaptisée spécial DBGT, un livre d'instruction unique a été même particulièrement imprimé.

Plus récemment, la DBGT spéciale a eu une vaste restauration du châssis chez les spécialistes Aston Martin, RS Williams, puis à l'usine Zagato en Italie pour l'installation d'une carrosserie originale dans le style DB4GT Zagato. Ainsi, elle peut être décrite comme une véritable DB4GT Zagato, mais ne peut pas être considérée comme l'une des 19 premières voitures.

2001-Aston Martin DB4GT Zagato Barchetta









Moteur : 6 cylindres en ligne

Cylindrée : 4200 cm3

Puissance : 350 ch/6000 t/mn

Poids : 1100 kg

Vmax : 258 km/h

Carrosserie : barquette

Nb produits : 1



La barquette Aston Martin DB4 GT est née d'un rêve fou. Sa genèse correspond à un phantasme, celui de recréer une voiture dans l'esprit des barquettes de course de la fin des années cinquante, les DB3S et DBR1. D'où l'idée de partir de la DB4 GT Zagato, un coupé célébrissime à la ligne sublime, et de se projeter visuellement dans ce que pourrait être une version ouverte de la voiture. En compagnie d'un ami, Frédéric Simon, Jean-Christophe Marchand décide donc de se lancer dans cette aventure aussi exaltante que déraisonnable - y compris du point de vue financier !

Une fois les lignes de la barquette figées, il restait à trouver la voiture qui subirait la transformation. Jean-Christophe Marchand souhaitait qu'elle fut contemporaine de la période de production de la DB4 GT Zagato - il y a eu des répliques de Zagato réalisées sur des châssis de DB 6, ce qui paraît quelque peu « limite « . La perle rare, une DB 4 de 1961 accidentée, est trouvée en France, à Chartres, chez Jean-Louis Hébert, qui possède un important stock Aston Martin. La carrosserie tout alu de la barquette est alors confiée à Shapecraft, un spécialiste de Northampton sous-traitant d'Aston Martin (et ancien tôlier-formeur de l'usine), qui a l'habitude de travailler sur les prototypes de Newport Pagnell.